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La timeline des soirées *di*/zain

  • Natures(s)

    Organisé dans le cadre de Futur en Seine, le dernier événement de la saison propose une soirée inspirée par les thèmes de l’édition 2015 du Festival : les enjeux climatiques et de développement durable. En créant un espace de réflexion et d’échange, en donnant la parole aux acteurs d’une innovation numérique responsable, le Festival souhaite introduire un changement dans les usages et les modes de vie et ainsi contribuer à la Conférence climat de Paris (COP21) à la fin de l’année.

  • Destin(s)

    Il s’agira de questionner tour à tour le passage de la dimension formelle à l’expérience, l’hybridation entre physique et numérique, la place du design dans la construction du temps présent et du futur. Un beau programme qui sera abordé en tissant des passerelles entre les différentes pratiques impliquées aujourd’hui.

  • Mode(s)

    À la croisée de plusieurs industries, le textile investit aujourd’hui massivement le numérique. Nouvelles matières, textiles connectés, interfaces vestimentaires, expériences scénographiques lors des défilés, nouveaux outils de conception, fabrication et distribution : autant de vecteurs et de secteurs dans lesquels la mode s’hybride avec le digital créant des expérimentations inédites et des écosystèmes audacieux.

  • Construction(s)

    Co-création, coworking, pluridisciplinarité, notre rapport aux processus de création se modifie et des nouvelles formes de collaboration émergent. La 20e soirée *di*/zaïn explorera ces nouvelles pratiques, directement issues du numérique. 5 intervenants présenteront leur démarche, à travers des projets qui questionnent ces nouveaux rapports aux processus de création, aux modes de production et aux espaces de travail.

  • Inspiration(s) Japon

    À l’occasion de l’exposition monographique que le Grand Palais consacre à l’artiste japonais Katsushika Hokusai, *di*zaïn propose une incursion dans l’univers de la culture japonaise contemporaine : l’impact, la fascination et les influences dans la culture occidentale, en particulier dans le champ de la création numérique. La 19e soirée *di*/zaïn s’attachera aux pratiques issues de ce jeu d’inspirations, de l’illustration et l’animation au jeu vidéo, en passant par la performance culinaire, l’architecture et le spectacle vivant. 5 intervenants présenteront leur démarche et leurs expérimentations, à travers des projets qui dialoguent, tissent des liens, créent des tensions, entre la culture japonaise et occidentale.

  • Signe(s)

    *designers interactifs* s’associe à Pictanovo & Plaine Images pour proposer un événement hors les murs, dans le département du Nord. Autour du graphisme et du design numérique, cette soirée invite des créateurs issus d’horizons variés – animation, jeux vidéo, webdesign, design d’interaction, art numérique, – à interroger et confronter leurs pratiques. La 18e soirée *di*/zaïn s’intéressera à la culture graphique, dans l’optique d’initier des synergies et d’imaginer une communauté régionale du design interactif, en réunissant des acteurs des industries créatives et culturelles.

  • Exploration(s)

    À l’occasion de l’exposition Capitaine Futur et le voyage extraordinaire à la Gaîté Lyrique, *di*zaïn propose un voyage exploratoire dans les pratiques interrogeant les nouvelles formes d’articulation des sciences et des technologies avec les domaines de l’art, du design et de l’architecture. La 17e soirée *di*/zaïn s’intéressera à cette dynamique art/sciences, à la croisée de différentes disciplines, tout en questionnant les transformations du monde aujourd’hui. 5 intervenants présenteront leur démarche, à travers des projets qui explorent ces nouveaux rapports à la matière, aux objets et à l’espace.

  • Laboratoire(s)

    Pour Jean-Louis Frechin, « L’esprit du numérique modifie en profondeur tous les secteurs de la société et redéfinit les façons dont nous devons “fabriquer les choses”. » La 16e soirée *di*/zaïn se déroulera dans le cadre de la 5e édition du festival Futur en Seine et donnera la parole aux designers et aux créateurs qui inscrivent leur démarche dans l’expérimentation. 5 intervenants présenteront le processus de création et les recherches menés autour d’une sélection de leurs projets récents.

  • Mouvement(s)

    Mobilité, ville numérique, expériences hybrides à la croisée du spectacle vivant et de la création contemporaine, le mouvement se trouve aujourd’hui au centre des interactions quotidiennes et des imaginaires de la culture numérique. La quinzième soirée *di*/zaïn explorera ces nouveaux rapports au corps, au geste et au numérique. 5 intervenants présenteront leur démarche, dans un contexte où l’éphémère et la trace peuvent enfin dialoguer, où différentes échelles spatio/temporelles permettent de construire des écosystèmes ouverts, multiples, dans une expérience hybride physique et numérique.

  • Vue(s)

    A l’ère des réseaux sociaux, des plateformes de partage, dans un contexte où se multiplient les canaux et modes de diffusion, de nouvelles pratiques liées à la création vidéo émergent. Cette culture de la création/publication, à la fois individuelle et collective, artistique, culturelle et sociale, se développe dans des espaces où la frontière entre la sphère publique et privée tend à disparaître.

    La 14e soirée *di*/zaïn mettra en perspective l’art vidéo avec ces nouvelles pratiques, issues de la création et des cultures numériques, où le temps réel, cher à Bill Viola et aux pionniers de la vidéo, est plus que jamais au centre du dispositif.

  • Makers

    De plus en plus, les pratiques du numérique s’hybrident avec celles du monde physique, assurant « le passage des bits aux atomes ». Electronique, découpe laser, impression 3D en sont quelques unes des illustrations. Pour citer Chris Anderson (ex rédacteur en chef de Wired), « La démocratisation des outils de production va sûrement déclencher une nouvelle révolution industrielle ».

    Fabriquer soi-même des objets, à domicile comme à son bureau, va bientôt devenir aussi courant que la retouche de photos. Le mouvement des makers s’est construit autour d’artefacts technologiques et d’une vision de l’innovation qui privilégie le bricolage, la fabrication d’objets conjuguant l’ingénierie, le design voire l’artisanat.

  • Enchantement(s)

    Bonheur, psychologie positive, bien-être, épanouissement, … ces différents aspects composent, nourrissent, obsèdent notre société. Comment interroger ce champ en tant que créateur ? Comment explorer ces notions dans une démarche, un processus de création ? En résonance avec l’exposition de Stefan Sagmeister The Happy Show, la 12e soirée *di*/zaïn explorera la façon dont sont questionnées et mises en scène ces représentations contemporaines. 5 intervenants présenteront des projets et des réflexions liés aux enjeux sociétaux, artistiques et design.

  • Technologies créatives

    Ces dernières années, l’effacement progressif des frontières entre les différents métiers du numérique a donné lieu à un nouveau territoire, celui de la « technologie créative ». Cette nouvelle approche hybride est dotée de multiples facettes : marketing, design, technologie. Elle intègre une dimension prospective des technologies et des usages, où le prototypage et la veille tiennent une place centrale. Ses promoteurs imaginent des expérimentations novatrices, au-delà des points de contact traditionnels que sont les sites web et les applications. La soirée *di*/zaïn #11 sera dédiée à ceux qui tissent le lien entre usages, technologies et création.

  • Identité(s) numérique(s)

    Les composantes qui s’agencent pour constituer notre identité numérique sont innombrables – coordonnées, commentaires, photos, etc. Ces fragments de données personnelles sont autant de traces plus ou moins visibles sur les réseaux. Les données disposent de nombreuses facettes et les enjeux de représentation y sont omniprésents.

    La 10e soirée *di*/zaïn explorera la façon dont sont mises en scène les identités numériques. 5 intervenants présenteront des projets et des réflexions liés aux enjeux technologiques, sociétaux et artistiques de l’identité numérique.

  • Réminiscences interactives

    Au cours des 30 dernières années, notre relation avec les objets et les usages du numérique s’est profondément transformée. En retracer une histoire est un projet complexe, car comme l’écrit Paul E. Ceruzi dans son ouvrage Computing, a concise history, de nombreuses innovations de rupture en émaillent le récit. La 9e soirée *di*/zaïn se penchera sur des projets inscrits dans cette histoire et nous remonterons le temps avec 5 précurseurs qui viendront nous présenter des projets et des interfaces du passé.

  • Futur(s) commun(s)

    Dans un contexte où se multiplient les crises économiques, sociales et écologiques, de nouvelles pratiques de production et de consommation des biens et des services émergent. Cette économie du partage, de la contribution, est portée tant par le vecteur des réseaux numériques que par celui des réseaux humains. La 8e soirée *di*/zaïn sera dédiée à ces nouvelles pratiques issues de l’innovation sociale, à travers des projets dans lesquels la démarche du design recrée du lien social et génère un impact sociétal réel. 7 intervenants présenteront leur démarche au Centquatre, dans le cadre du Festival Futur en Seine, dont le commissariat général est assuré par Jean-Louis Frechin.

  • Forme(s)

    La 7e soirée *di*/zaïn s’attachera à l’expression formelle qui caractérise les objets de création, quelle que soit leur nature. Les 7 intervenants invités présenteront des projets relevant du design graphique, du design d’objet, du design interactif, des arts visuels ou encore de l’architecture. À travers ce nouveau parcours, il s’agira moins de saisir la dimension esthétique des projets que de révéler les contours de leur réalité. Une fois de plus, nous nous adresserons à tous les sens qu’ils mobilisent.

  • Immersion(s)

    La 6e édition des soirées *di*/zaïn a proposé une incursion dans des imaginaires inexplorés, des réalités alternatives et nous a imprégné de nouvelles sensations visuelles, tactiles, sonores, voire olfactives et gustatives. Il ne s’agit pas seulement d’envisager les expériences qui peuvent survenir dans les environnements virtuels ou numériques mais aussi d’énoncer des propositions qui nous transportent dans d’autres types d’immersions : artistique, narrative, photographique...

    Comme à son habitude, le champ d’incursion des projets présentés est ouvert, privilégiant la diversité des pratiques de création : arts numériques, design graphique, design interactif, design sonore et bien sûr jeux vidéo.

  • Code(s) + data(s)

    La 5e soirée *di*/zaïn, qui a eu lieu le 26 février 2013 au Divan du monde, était consacrée aux pratiques créatives du code et aux nouveaux usages des données. Cette soirée a rassemblé une dizaine d’intervenants issus de domaines différents — design interactif, recherche, installation, arts numériques et architecture — explorant des approches singulières autour de ces thématiques.

  • Interaction(s)

    Avec les usages du numérique, notre relation aux objets se transforme et les objets de notre quotidien dialoguent avec nous sous le régime de l’interaction. Loin d’être un design de l’immatériel, cantonné aux écrans et aux interfaces, le design interactif réinstalle les enjeux du numérique dans le monde physique, à travers des expériences sensibles. La soirée *di*/zaïn #4 du mardi 15 janvier 2013 a mis en scène 10 projets dans lesquels l’interaction est envisagée comme une hybridation du monde matériel et du numérique et qui témoignent de ces formes nouvelles de relation avec notre environnement.

  • Écriture(s)

    La troisième soirée *di*/zaïn, qui a eu lieu le 4 décembre au Divan du monde, était consacrée à toutes les formes d’écritures numériques. Nous nous sommes penchés à cette occasion sur les créations, les outils de production et de diffusion d’auteurs, d’éditeurs et de producteurs qui se saisissent des usages poétiques, ludiques, novateurs. *di*/zaïn a mis en valeur 11 projets qui témoignent des formes de création mettant en jeu des pratiques originales du numérique.

  • Perspective(s)

    La deuxième édition de *di*/zaïn a mis en lumière les multiples traductions de l’imaginaire de l’espace. Design graphique, design interactif, design sonore, installation et bien sûr architecture ont été les champs d’investigation privilégiés pour révéler la façon dont nous construisons nos représentations du monde dans toutes ses dimensions. 10 créateurs invités ont présenté sur la scène du Divan du monde des projets illustrant ce thème.

  • Impression(s)

    La première édition de *di*/zaïn a dépeint les impressions sensibles de 10 créateurs qui ont évoqué l’imaginaire de leur(s) discipline(s). Ces créateurs, issus d’une multitude d’horizons, ont présenté sur scène des projets issus de leur démarche personnelle. Design graphique, design culinaire, design sonore, design d’interaction… une mosaïque d’approches dans lesquelles a également été mis en lumière le rayonnement du numérique.

    Impression(s) est le volet annonciateur d’une série de 10 soirées thématiques qui se tiennent au Divan du monde chaque mois. Ces soirées s’articulent autour de présentations de projets de design et proposent au public de participer via un dispositif en temps réel sur Twitter.

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