Ca fait déjà quelques moiss que je lis des articles à ce sujet et je constate une forte progression de l’avancée des techniques de réalité virtuelle dans la recherche médicale. En effet, l’avancée fulgurante (depuis 2005-2006) des réseaux virtuels en ligne tels que Second Life, a fait également progressé les technologies qui y sont liées. Voici une petite vidéo (en québécois-caribou!) pour vous mettre au parfum :

 

La réalité virtuelle, utilisée à bon escient peut aider ceux et celles qui souffrent de telles phobies de surmonter leurs peurs. Bientôt, les troubles plus complexes pourront aussi être traités de cette façon.

Pour en arriver là, il aura fallu faire beaucoup de recherches, et ces dernières se font ici même, à Gatineau, à l’Université du Québec en Outaouais (UQO). C’est le Dr Stéphane Bouchard (celui sur la vidéo!) qui est à la tête de cette Chaire de recherche du Canada en cyberpsychologie clinique.

 «La peur de l’avion, des araignées, des hauteurs et celle de parler en public sont les phobies les plus fréquentes, énumère le Dr. Bouchard, et ce sont aussi les plus faciles à traiter. Les troubles d’anxiété, ou post-traumatiques par exemple, sont plus difficiles à traiter parce que ça prend des traitements plus nuancés, moins purs.»

«Il ne faut pas voir ça comme un nouveau service de traitements de santé mentale», nuance toutefois Dr Bouchard. La chaire fait appel à des patients sporadiquement, dans le but de faire avancer ses travaux, et dans l’objectif éventuel de distribuer les méthodes à d’autres centres de service. Un traitement par vidéoconférence Si la réalité virtuelle prend une large part de cette chaire de recherche, une autre avancée viendra vraisemblablement changer la façon, mais surtout le moyen, de faire et de suivre des thérapies. Le Dr. Bouchard s’est beaucoup interrogé sur les possibilités de traiter à distance des patients, par l’entremise de vidéoconférences. «Le premier objectif, au départ, c’était de desservir les régions éloignées. Mais ce qu’on se rend compte, c’est que ça permet d’aller chercher les services là où ils sont.»

via info07




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