C’est sur InternetActu que je viens de lire un article passionant sur les mobiles, les adolescents et l’informatique ambiante… Je vous laisse découvrir le début :

“Et si la réalité était déjà augmentée, et l’informatique déjà omniprésente ? C’est un peu ce qui ressort de l’observation ethnographique menée auprès d’adolescents par le Groupe de recherches interdisciplinaires sur les processus d’information et de communication (Gripic, le Groupe de recherche de l’Ecole des hautes études en science de l’information et de la communication, le Celsa) pour le compte de l’Association française des opérateurs mobiles (Afom).

Le coup de la “panne”

“Si les pratiques des jeunes paraissent plus fluides aux adultes, c’est moins en raison de leur expertise que parce qu’ils entretiennent une relation dédramatisée avec les objets de technologie. Ce qui départage les “technophiles” de ceux qui ne le sont pas, c’est moins l’évidence de l’accès au dispositif ou les compétences techniques que la façon de vivre les échecs ou les petites défaillances techniques.”

Ceux qui ont déjà tenté d’aider une personne âgée, ou peu au fait des subtilités des ordinateurs et de l’internet savent à quel point le principal obstacle à l’appréhension d’une technologie n’est pas l’outil en tant que tel, mais la probabilité de l’utilisateur à être déstabilisé, voire paniqué lorsqu’il “doit” l’utiliser : “mais pourquoi faut-il cliquer sur “démarrer” pour éteindre un ordinateur sous Windows ? Et si j’utilise Google, je n’ai plus besoin de Firefox ?”, sans oublier ceux qui confondent les barres d’adresse URL et de recherche des navigateurs, ou qui entrent l’URL dans le formulaire d’un moteur de recherche, etc.”

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