Hello 🙂
Ce matin on parle graffiti et peinture de rue avec un travail visuel centré autour de l’idée de révolution, de trouble à l’ordre civil, et de changement social. L’artiste de rue espagnol Escif a créé ces oeuvres il y a quelques temps mais, les rédécouvrir avec ce qui se passe en Egypte, Lybie ou Tunisie, elles prennent un tout autre sens.
La question reste posée, est-ce l’art a un impact dans la création d’un changement politique? Personnellement, je pense que oui, j’en suis même persuadé 🙂
Très sympa. Ça me fait penser aux publications relayées par le génial http://www.woostercollective.com. Serait-ce une des sources d’inspiration de ce blog ?
Excellent et très élégant !
@Christophe / Fabrique Multimédia: yes, je suis fan de leur blog cependant, là je suis abonné au flickr de ce monsieur 😉
Vraiment très bon.
Mais je trouve que la « politique » est sublimée dans ses créations – et c’est pour ça que j’aime.
Je trouve que c’est plus ses idées qui sont un médium à son art que son art un médium pour ses idées.
Mh.
C’est pas très clair ce que je dis, et en plus il faudrait demander à l’artiste lui-même ce qu’il en pense :]
le nouveau banksy ?
L’histoire prouve que, si l’art ne change peut-être pas le monde, en tout cas le bouillonnement culturel et les changements sociaux vont de pair.
Le « Siècle de Périclès », c’est l’apogée de la tragédie grecque et de la démocratie antique.
Michelange et Machiavel transforment l’Italie en même temps.
Les pièces de Marlowe et Shakespeare apparaissent sous le règne d’Elizabeth.
Etc.