Hello 🙂 [Je remarque que ceci est mon 3000 billet ! w00t]
Cette après-midi, voici une présentation très intéressante, réalisée par Alexandra Deschamps-Sonsino de DesignSwarm. Elle nous présente un aperçu rapide des points et des conseils pour soigner sa présence en ligne en tant que designer (mais bon, certains conseils sont applicables pour tous les travailleurs..)
Et de commencer par une petite citation : « Vous êtes -entre autre- ce que je peux trouver de vous sur Google ou Facebook «
À tous ces conseils intéressants, j’ajouterai juste qu’avant tout, pour être designer en 2010, il faut être passionné et bon dans son métier… Et ne pas chercher à suivre absolument ces conseils ;-)
Bonjour Geoffrey,
Punaise ça fait tout de même peur de voir que l’on n’existe plus qu’à travers les réseaux sociaux VIRTUELS… pour reprendre le diaporama dans l’ordre : Google, Facebook, WordPress, Linkedln, Twitter… mouai en gros on s’est trompé de formation 🙂 J’aurais du faire le CELSA plutôt que les beaux-arts quoi 😆
Bonne continuation et à bientôt
Hello Jérémy, …heureusement que non 🙂 bien-sûr, cette présentation est à prendre avec mesure. Et le clivage réel-virtuel est-il toujours à faire ? 😉
Bien sur que je la prends avec mesure, cette vidéo 😉
Concernant le clivage dont tu parles je penche plutôt sur un recul de la « virtualisation » de la réalité et non sur une séparation fondamentale des deux. Je pense que le lien entre virtuel et réel n’est pas forcément une mauvaise chose à conditions de faire le point de temps en temps. Le soucis n’est pas tant pour notre génération, ni même celle de nos pères, mais pour les générations en cours ou celles à venir, qui finissent par tout confondre. Les réseaux sociaux et, bien avant, la télé-réalité, ont complètement annihilé, par exemple, la séparation entre sphère publique et sphère privée à un point où comme sur chatroulette il existe des dérives pédophiles et morbides. Plus loin encore ce phénomène de rapprochement du virtuel avec le réel fait passer toutes personnes au titre de personnes publiques, et, pour faire un raccourci extrême, on fini par élire un président de la république uniquement sur sa popularité (virtuel) plutôt que sur sa crédibilité (réel)… Mais bon c’est un autre débat… Si on rapproche réel et virtuel il faut se soucier, du coté des créateurs mais aussi des utilisateurs, de l’influence sur la société et sur soi-même.
Je suis jeune, j’ai 26 ans, je ne suis pas un vieux réac’. Je trouve que les réseaux sociaux sont aussi une forme de démocratie mais comme tout système il a ses défauts, il faut juste les connaitre pour mieux les appréhender et vivre avec…
Bien à toi !