Aaah le graffiti !
Grave problème pour les municipalités, un art de rue pour les graffeurs, les deux discours se tiennent et pourtant, comment tomber d’accord ? Et bien, le marqueur « Grime » a été créé pour permettre de libérer votre fort intérieur de graffeur sans avoir à vous soucier de la police qui vous tape sur l’épaule en vous demandant ce que vous faites avec ce feutre ;-)
Vous l’aurez compris, il s’agit de faire du graffiti… en nettoyant la surface sur laquelle vous vous exprimez ! Ce marqueur est rechargeable avec de l’eau savonneuse, tout simplement !
De quoi devenir le graffeur de la propreté !
Voici une excelente idée sauf pour les graffeux qui chercherons la postérité en laissant une trace indélébile. Chapeau et ce me donne bien envie de tester 😀
Une agence propose ça en street marketing, sur le trotoire, avec des QR Code (http://www.clean-tag.fr).. Seul problème : la pluie ^^.
Ce concept de graffiti à l’envers me rappelle le génial activisme d’Alexandre Orion pour mettre en évidence la pollution à São Paulo et l’inaction des autorités à la combattre : http://www.alexandreorion.com/ossario/
C’est plutôt un gadget qu’autre chose. La plupart des marqueurs fabriqués par des marques de peinture aérosol sont rechargeables ; rien n’empêche le graffiteur de les remplir avec de l’eau savonneuse… C’est plus un coup de marketing qu’une solution.
Accessoirement le blanc de Meudon peut être un substitut à l’encre beaucoup plus satisfaisant parce que c’est le seul pigment qui n’altère pas la surface sur laquelle on l’applique, qui s’en va à l’eau et qui a néanmoins une beau pouvoir de recouvrement quand on l’applique sur une surface. C’est d’ailleurs celui qu’utilisent les collectifs anti-pubs.
@Mathieu Tremblin merci pour la mise au point.
Et, en passant, le graffeur souhaite laisser une trace de son passage, avoir son espace de visibilité (d’où l’utilisation de pigments, goudron…). J’imagine que ce genre de choses ne l’intéresse pas, surtout si c’est vendu à 9€ à coté d’un pot à crayon-requin et de pince à linge chauve-souris.
Une meilleure solution : des murs d’expression avec des évènement autours. En plus d’un encouragement à la culture, la ville pourrait canaliser un peu les hardeurs.
Tres tres bien ca ! ca permet d’etre créatif et de s’amuser quand meme sans avoir des problèmes.
C’est ce qu’on appelle le reverse graffiti. ça fonctionne très bien sur les murs pollués comme les tunnels. Cette nouvelle forme de graffiti a été inventé au Karsher. Il est vrai que ce petit marqueur est plus discret ! Reste à vérifier que la mèche ne sature pas rapidement de saleté.