Bonjour 😀
Vous connaissez peut-être la « Ellen MacArthur Foundation » ? Ellen MacArthur est une navigatrice britannique qui a notamment battu le record du tour du monde à la voile en solitaire. Depuis, elle a arrêté sa carrière sportive et a lancé son organisation indépendante dont l’objectif est d’inciter le public et les entreprises à re-penser, concevoir et enfin construire un « avenir durable ». Selon la fondation, il est nécessaire de concevoir un nouveau modèle de fonctionnement, fondé sur les principes de l’économie circulaire car colmater les fuites du système actuel ne suffira pas.
Voici la première vidéo qui présente de façon graphique, simple et très intéressante de comment repenser l’innovation avec l’économie circulaire.
En terme de design, ce concept d’économie circulaire engendre bien des problématiques et, à mon sens, peut vraiment être un moteur de créativité assez fulgurant. En effet, concevoir des objets « vivants » qui sachent évoluer à travers le temps et « s’upgrader » comme l’on met à jour un logiciel ou un ordinateur, permet de laisser une porte ouverte dans ces objets, dans ces choses, ce qui, au final n’est pas si loin d’une certaine idéologie open-source très axée encore sur l’informatique mais qui, je vous en parle parfois ici, s’étend à différents champs comme celui du design par exemple 🙂
Merci pour la découverte !
La vidéo de promo est graphiquement très sympa et illustre bien le propos.
Ce n’est pas forcément un concept révolutionnaire (écologie + recyclage malin, en fin de compte ? ), mais ça fait pas de mal de rappeler que les ressources sont limitées.
Dans le même style (en très moralisateur): « The story of stuff » (http://www.storyofstuff.com/)
Bon week-end !
@PaT: content que la découverte soit intéressante 💡 et merci pour le lien, le projet semble très intérssant également 🙂
Merci pour les deux sujets, ce qui est intéressant dans ces sujets est de voir les problématiques et les solutions, la pédagogie des anims est top.
Je suis d’accord avec @PaT, d’ailleurs plus on en parlera, plus on aura de chance de voir ces projets se concrétiser en masse.
Si certaines entreprises et pays comprennent leur intérêt économique dans tout cela (seul argument souvent valable hélas) il faut passer le stade de la peur du changement, et là on parle d’un virage à 180°