Tout s’accélère les amis,  les constructeurs et les centres de calcul se préparent au franchissement de la barrière prestigieuse du million de milliards d’instructions par seconde.

Bon, tout ça est très abstrait pour moi aussi, je vous rassure.

D’ici un an, il serait possible de  :
– simuler des essais nucléaires
– de peser dans les négociations climatiques
– de participer à l’aventure de la biologie moléculaire.

Qui s’y colle ?
Si le franchissement du petaflops reste une question de prestige, les constructeurs comme IBM, HP ou Bull travaillent déjà bien au-delà. « Personne ne parle plus du petaflops mais de machines pétaflopiques car les progrès vont de plus en plus vite »

Et les européens ?
Les laboratoires européens ont décidé de s’unir pour rester dans la course mondiale. Quatorze pays viennent de lancer l’initiative (Prace Partnership for Advanced Computing in Europe), financée à hauteur de 20 millions d’euros par le 7e programme cadre.

Bon, biensur tout cela mettra des dizaines d’années à arriver “dans le civil” comme on dit, mais je pense que les avancées de la médecine, de la recherche.. et aussi de l’armée se verront accélérées.




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