Bonsoir 🙂

Voici pour vous ce soir, un moment de poésie typographique signé par le designer – typographe (mais pas seulement) Peter Gabor. Ce film intitulé « Le 5e Jour | avant… », est réalisé à partir d’un ouvrage de Klaus Burkhardt des éditions Domberger. Chose amusante aussi, il a tout simplement été filmé avec un iPhone et monté sur une musique de Giuseppe Verdi 🙂

Ce week-end, on me demandait pourquoi j’aimais tant la typographie, et bien cet aspect totalement graphique et coloré est une toute petite parcelle pour laquelle il est possible de rêver un peu devant de simples lettres 🙂

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7 commentaires

  1. Bonne idée, mais je m’étonne de votre jugement : le bougé « main levée », les saccades et le jello effect dû au rolling shutter de l’iPhone font de cette vidéo un truc vraiment pénible à regarder.

    Alors qu’un traitement de stabilisation dans Motion ou After aurait rendu le tout plus fluide, et pour le coup poétique. Là j’avoue avoir vraiment du mal 🙂

    (oh puté des emoticons Star Wars 😈 )

  2. C’est clair la typographie est un véritable art pour certains… La vidéo est marrante mais c’est vrai que ça bouge un chouille…. enfin si c’est revendiqué minimaliste-iphone alors… 🙂

  3. @vincent bé: @Alexandre Bornes: Bonsoir à tous les deux 🙂 Peter Gabor s’exprime en personne et de façon très humble sur le sujet :
    « Juste pour info, cette vidéo, je l’ai monté à l’origine par jeu pour une amie qui me rejoint dans 4 jours, venant de Montréal pour une belle histoire que nous avons commencé ici même sur Facebook. Donc il n’y avait aucune prétention et surtout pas trop de temps pour aller lire le manuel du parfait soldat d’Aftereffect. MdR. Un private joke en somme qui s’est transformé en publication FB, puis sur mon blog. Rien de plus 🙂 »

    tout est dit 🙂
    Personnellement, la poésie n’est pas dans l’art de bien filmer ou d’avoir un rendu merveilleux,elle se trouve, pour moi, au travers de ce côté touchant et très humain de ce petit film et de ces si belles lettres 🙂

  4. Je suis tout à fait d’accord avec Tania. Effectivement la forme importe peu.
    Quand on regarde attentivement le travail de Klaus Burkhardt mis en scène ici par Peter Gabor on ne peut que tomber amoureu des formes et du jeu crée autour du chiffre 5 (il faut être un minimum sensible à la typographie).
    Bon nombre d’artistes n’utilisent pas forcement la « forme » qu’il faut, cependant quand on regarde « le fond » de leurs oeuvres on découvre souvent des choses fascinantes voir étonnantes


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