Bonsoir !

Bon, ce soir un sujet un peu chaud chaud concernant le dernier livre de David Levy intitulé Love and Sex with Robots : The Evolution of Human-Robot Relationships (Amour et sexe avec les robots : l’évolution des rapports hommes-robots).

 

C’est dans le courrier international qu’un article passionant sur la sexualisation des robots et autres relations entre robots et humains.

Trêve de babillages, je vous présente le début de l’article :

“Andy (mensurations : 101-56-86) a ce dont beaucoup d’hommes rêvent chez une femme : “Une patience infinie”. C’est du moins ce qu’assure son fabricant, First Androids. Andy offre en outre différentes options, dont un “système de fellation à intensité variable”, un “pouls perceptible”, des “hanches à rotation” et un “chauffage avec variateur” pour élever la température du corps. Seuls les pieds “restent froids, comme dans la réalité”, précise David Levy. L’attrait que le chercheur britannique éprouve pour Andy est purement scientifique, assure-t-il. Pour lui, cette poupée sexuelle high-tech n’est rien de moins que le présage d’un nouvel ordre mondial.
Expert en intelligence artificielle, David Levy vient de publier
Love and Sex with Robots : The Evolution of Human-Robot Relationships (Amour et sexe avec les robots : l’évolution des rapports hommes-robots). Sa conviction ? D’ici quarante ans à peine, êtres humains et robots s’accoupleront. Les humanoïdes nous enseigneront des pratiques sexuelles que nous n’aurions jamais imaginées ; nous les aimerons et les respecterons, et nous leur confierons nos secrets les plus intimes. A la vitesse où évoluent les technologies, les machines présenteront bientôt des traits humains, et l’union hommes-robots deviendra une pratique courante, assure-t-il.
Le succès d’Aibo, le chien robot de Sony, et de Furby, robot jouet aux airs de boule de poils améliorée avec circuit intégré, montre que la technologie peut servir de caisse de résonance aux émotions de l’être humain.
“Il n’est pas rare que les gens s’attachent à leur animal de compagnie virtuel, y compris à un animal robot, explique Levy. Il n’y aurait donc rien d’étonnant à ce que l’homme s’attache aussi fortement à des humanoïdes.” “

Vous pouvez continuer la lecture par ici sur le site du Courrier International

Bref, tout ceci fait encore froid dans le dos, quoi qu’on en dise, ces robots tels qu’ils sont décrits dans cet article restent pour moi un truc de Geek ou de névrosés. Je suis encore loin de croire que l’on puisse remplacer l’homme et la femme et s’émerveiller face à de “simples” machines sans automatiquement se mettre à leur hauteur (par exemple : “whoa ce n’est -qu’un- robot et il arrive à tenir un oeuf!”). ^^




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