Le bon vieux refrain sur les jeux vidéos.. Vous savez sûrement que les jeux vidéos rendent violent ? Mais si, faites un effort, GTA, Max Payne, Guitar Hero.. euuh non, pas Guitar Hero ^__^ Bref, ce matin dans la Tribune de Genève, un bon petit article sur le fait qu’il est extrêmmement difficile de “prouver” que les jeux vidéos rendent violent :
Deux gamins en tabassent un troisième, c’est la faute des jeux vidéo. Un autre débarque avec un flingue à l’école, c’est la faute des jeux vidéo. Et l’ouragan Dolly, c’est la faute des jeux vidéo? Peut-être faut-il rappeler que l’être humain n’a pas attendu l’avènement de l’ordinateur et des autres consoles pour mettre son poing dans la figure de son prochain. Et qu’il vaut de temps en temps mieux égorger trois monstres cracheurs d’acide que lâcher des pots de géranium sur sa voisine. Outre une formation continue en langues, en gestion stratégique et en raisonnement logique, les jeux en ligne offrent aujourd’hui un nouvel espace de socialisation. Dans un monde où les codes sont différents, ne serait-ce que parce qu’aux yeux des autres joueurs vous êtes un gros singe ailé tout poilu que vous avez créé de toutes pièces. Si la loi du plus fort règne ici aussi, il faut souvent se mettre à plusieurs pour avancer.
Les joueurs des quatre coins de la planète communiquent en direct via Internet. Ils parlent de stratégie, mais aussi de tout et de rien. Et finissent par se donner rendez-vous à Florence ou à Oslo pour découvrir l’être humain sous la touffe de poils en animation 3D.
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